Yann Karamoh répond à la presse sur l’importance des ailiers à Bordeaux et l’apport de Ricardo

Toujours dans sa conf’ de presse du jour, Yann Karamoh, le jeune milieu offensif des Girondins de Bordeaux, répond à des questions sur son poste et l’importance des ailiers dans le jeu des Marine et Blanc, mais aussi sur l’apport du brésilien Ricardo, depuis qu’il est (re)venu comme manager du FCGB :

« Si notre système de jeu dépend des ailes ? Oui et non. Parce que, c’est vrai qu’on s’appuie beaucoup sur les ailiers, car pour l’instant on va dire que tous nos buts – que ce soit Kamano, Kalu ou moi, et même Nico (De Préville) quand il est rentré à Guingamp pour marquer – viennent souvent du côté, mais ça part aussi souvent du milieu, avec Sankha(ré), Aurélien Tchouaméni ou Lukas (Lerager), donc c’est un peu tout le monde qui participe on va dire. Mais pour la finition, c’est vrai que les côtés… Mais c’est parce que ça va plus vite, c’est tout. Et en attaque, on voit avec Jimmy (Briand) ou Cornelius que ça fait les pressings devant, en démontrant un bon état d’esprit, même si Andreas n’a pas encore marqué. Ces efforts qu’ils font pour le groupe, on doit tous les faire, car c’est important.

(…) L’apport de Ricardo ? L’état d’esprit, clairement, on l’a vu. C’est un coach avec de l’expérience, qui ne parle pas beaucoup, mais au bon moment. Mais que ce soit lui, Éric (Bedouet), ou le reste de staff, ils sont expérimentés et savent gérer un groupe, ce qu’ils font très bien. Pour le moment (sourire)… Moi, en tout cas, je n’ai aucun problème ici, avec les joueurs, le staff, le club. Au contraire même. Puis la ville est super agréable. Entre nous, il y a beaucoup de sourire, de rigolade, et c’est mieux pour tout le monde on va dire. Le retour des internationaux ? On les a tous félicités un par un, mais surtout Lukas pour son super but avec le Danemark. Il était beau quand même… Et Pablo aussi, pour sa 1ère sélection avec le Brésil. »