Pas jaloux d’Ousmane Dembelé, Malcom évoque sa relation avec Lionel Messi

Venant de fêter ses 22 ans et ayant marqué un but contre le Real Madrid, LE rival majeur du Barça, le mois dernier, l’ancien bordelais Malcom joue cependant toujours bien peu au FC Barcelone. Mais il garde une très bonne attitude, notamment quand il parle pour les médias français (ici TF1), expliquant sa concurrence avec le joueur tricolore Ousmane Dembelé et ses relations avec la star argentine : Lionel Messi.

Tout à l’heure, l’ancien N°7 des Girondins de Bordeaux aura peut-être l’occasion de briller, encore, face à Lyon, en 1/8ème de finale retour de la Ligue des Champions (0-0 à l’aller, France) :

« C’est un très bon joueur, qui va devenir, pour moi, un des meilleurs du monde s’il continue comme ça, en pensant d’abord au foot. Je pense que quand tu arrives au Barça, c’est comme ça, tu franchis un cap. Mais je pense qu’Ousmane commence à jouer plus comme il faisait avant, à Rennes et à Dortmund, donc il nous aide plus, il marque des buts, fait des frappes, dribble… J’espère qu’il va continuer comme ça. Parce que même si il y a la concurrence, il ne faut pas être jaloux, car ce ne sont que des grands joueurs ici, et quand on est uni ça se passe bien, on gagne des matches et aussi des titres.

Ce que représente le fait de jouer avec Messi ? Ah (sourire), c’est difficile de parler de Leo. C’est une bonne personne Leo, il est comme nous. Il est gentil, il rigole avec tout le monde, mais pour moi il est un peu timide, car des fois il parle et des fois non. Mais il est tout le temps avec le sourire et c’est ça le plus important. Quand tu vois le meilleur joueur du monde avec le sourire, après tout ce qu’il a déjà, tout ce qu’il a déjà fait, ça me donne encore plus envie d’être là et de rêver avec eux. S’il me donne des conseils ? Oui. J’ai passé un moment difficile, mais il m’a dit d’être tranquille, que c’était normal et que ça allait changer. Il m’a dit que j’étais un bon gars et qu’il voyait que je travaillais beaucoup et donc que je ne devais pas m’inquiéter car ça allait venir. »