Pierre Ducrocq : « Moi, je sais que je n’ai rien lâché (PSG – FCGB 99) »

Après Élie Baup, Éric Bedouet ou encore Rolland Courbis, et toujours dans son émission de ce samedi sur le titre des Girondins de Bordeaux en 99, RMC a donné la parole à Pierre Ducrocq. Ancien joueur défensif du Paris Saint-Germain, et sur le terrain pour le PSG – FCGB (2-3) de la dernière journée décisive pour l’obtention du titre, il répond aux éternelles accusations des Marseillais comme quoi les Parisiens se seraient couchés devant les Marine et Blanc pour éviter que les Phocéens ne soient sacrés :

« Il y a eu, effectivement, plein de situations où on est un peu abandonnés derrière et au milieu. Est-ce que c’est parce que c’est un dernier match, où nous on n’a plus rien à jouer ? Est-ce que, de ce fait, le degré d’intensité qu’on y met ; avec certains qui n’ont pas envie de se faire mal pour ce dernier match ; est plus faible ? Ou est-ce que c’est clairement quelques joueurs qui ont voulu lâcher ce match-là ? Tout ça, ça les regarde. Moi, je sais que je n’ai rien lâché. Après, oui, quand tu joues une dernière journée où tu n’as plus rien à jouer, comme c’était notre cas, effectivement, tu n’arrives pas à être aussi agressif, à mettre autant d’intensité, à être aussi concentré que quand tu joues un titre de champion de France, comme c’était le cas de Bordeaux, en face de nous ce soir-là. »

Explication claire.

Retranscription faite par nos soins