Malcom parle de la pression que lui met… sa famille et prend son mal en patience pour la Seleção

Aimant, d’après son coach, Gustavo Poyet, être un joueur « spécial », Malcom a expliqué à GOLD FM que la pression et les responsabilités sur le terrain ne lui faisaient pas peur.

« A Bordeaux, je trouve que nous avons de bons footballeurs, pas que moi ou le côté droite… On peut tous faire mieux, et moi aussi. Je sais que je peux faire plus, pour aider Bordeaux, en marquant et puis en donnant des passes décisives. Pour la fin de saison, avec d’abord le match contre Rennes, il faut que l’on gagne pour retrouver la confiance. Et avec ça, je pense qu’on ira chercher la place européenne. La pression ? Non… Pour moi, c’est du positif. Vous savez, même si ici il n’y a pas trop de pression, quand tu joues à Bordeaux, je sais quand je ne suis pas bon et ma famille aussi, elle me le dit : ma mère, ma grand-mère, mes grands-parents. J’ai la pression, chez moi. Ils me disent la vérité.

La Seleção ? Oui, je n’ai pas été convoqué dans la dernière liste. C’est une déception. Mais il faut faire avec et puis travailler plus, toujours plus, parce que je sais que dans le futur… Je suis jeune, j’ai le temps de montrer au sélectionneur, Tite, que je peux être dans cette équipe du Brésil. Si je rêve quand même du Mondial ? Oui ! Mais si ce n’est pas celle-là, c’est la prochaine… Il faut que je travaille, que je fasse mieux. Déjà, je pense à bien finir la saison avec Bordeaux. La suite, on verra… »