François Kamano : « L’état d’esprit mis contre Lille va permettre d’enchaîner lors des matches qui vont suivre »

Dans la foulée de l’entraîneur, Gustavo Poyet, le milieu offensif des Girondins, François Kamano, a aussi parlé aux médias, en conf’ de presse, avant Montpellier – Bordeaux (J33 de L1).

 

Extraits :

 

« Mon doublé contre Lille fait énormément de bien, en particulier pour moi, ça me remet en confiance pour bien repartir et enchaîner derrière. Aussi, ça fait du bien au groupe, pour enchaîner. Le plus important, c’est de rester sur cette continuité et de faire plus ce weekend, à Montpellier. Il faut prendre 3 points, ce sera l’essentiel. Gagner contre Lille nous a libérés, car c’était un match compliqué, un piège, ils défendaient bien, on encaisse vite un but ; mais derrière on revient bien, on prend rapidement le dessus, et je pense que l’état d’esprit mis dans ce match va permettre d’enchaîner lors des matches qui vont suivre.

 

Le maintien ? On n’a pas eu peur, mais c’est vrai qu’il y a eu une période de creux. Cela nous a beaucoup mis en danger au classement, mais il fallait juste gagner contre Lille. Aussi, vu les séances d’entraînements qu’on fait, je crois que ça devrait passer à Montpellier. On va jouer les 6 derniers journées au match par match. Au début, c’est vrai, nous nous étions fixés des objectifs de finir dans les 5-6 premiers, mais là c’est compliqué. Vous connaissez la situation… Alors on essaye de prendre le maximum de points possibles, en jouant match par match, et on fera le compte à la fin du championnat. Aucun match ne sera facile, mais il faudra gagner, y aller à fond, et… voilà. Déjà, on sait que contre Montpellier, une équipe solide défensivement et qui joue bien en bloc, ce sera dur. Alors à nous de leur poser des problèmes, offensivement, en passant sur les côtés ou en utilisant leurs points faibles. On essaiera de marquer le plus tôt possible. Mais il ne faut pas comparer avec des matches d’avant. Tous les matches sont différents. Donc à nous de jouer notre jeu, comme on sait, et on verra bien. »