Environ 50% des buts bordelais pris en L1 cette saison le sont sur cpa

3 lettres : cpa. Pour coups de pieds arrêtés.

Les Girondins (ici Éric Bedouet et Benoît Costil, en mars) en avaient déjà parlé, mais hier à Nîmes (défaite 2-1, 33ème journée de Ligue 1) cela s’est encore confirmé. Si les Marine et Blanc gardent une défense assez peu perméable (36 buts encaissés, la 5ème de L1), les phases arrêtées leur coûtent très cher en 2018-19.

Dans le détail, on a (uniquement en Ligue 1) :

1 coup-franc direct (3-3 contre Nîmes ; J 5)

1 coup-franc indirect (2-1 contre Toulouse ; J25)

6 penaltys (1-3 à Guingamp ; J6, 2-0 à Montpellier ; J 10, 1-0 à Nice ; J20, 1-0 à Paris ; J24, 3-0 à Saint- Étienne ; J32 et 2-1 à Nîmes ; J 33), tous à l’extérieur

9 corners (0-2 contre Strasbourg ; J1, 2-0 à Rennes – deux fois ! – ; J 4, 1-2 à Angers ; J17, 1-0 à Marseille ; J18, 1-0 à Nantes ; J26, 1-2 contre Montpellier ; J27, 3-0 à Saint-Étienne ; J32 et 2-1 à Nîmes ; J33), dont 8 à l’extérieur

2 corners en deux temps (1-1 contre Rennes ; J29 et 3-0 à Saint-Étienne ; J32)

– si on chipote, Bordeaux a aussi encaissé 2 buts suite à des combinaisons sur… des touches (ça reste une phase arrêtée) : contre Strasbourg et à Toulouse, pour 2 défaites lors des deux premières journées.

En additionnant le tout, cela fait environ 50% des buts girondins pris, cette saison en Ligue 1, sur des phases arrêtées. On s’en passerait bien…