Marc Planus : « Dès que J.L Triaud a été mis de côté, je savais que le club perdrait en âme »

Marc Planus a donné son sentiment au micro de Top Marine & Blanc (ARL) sur l’âme perdue par le FCGB depuis plusieurs années :

« J’ai passé 26 ans aux Girondins, je sais que les salariés ne savent pas comment ils vont être mangés. Dès que Jean-Louis Triaud a été mis de côté, je savais que le club perdrait une partie de son âme. Je ne penserai pas qu’on tomberait si bas mais je savais qu’on perdrait notre identité de club familial en écartant des gens du cru. Aujourd’hui, Bordeaux n’a plus aucun grain d’affect, d’identité. Cela ne date pas de Gérard Lopez. Il y a des hommes qui ont voulu être omnipotents et qui ont oublié de déléguer et les racines du club. Quand on voit que le centre d’entraînement est fermé alors que j’ai toujours vu des retraités ou des jeunes venir nous soutenir. On a voulu se labéliser comme un grand club mais on en a perdu notre identité. »

Retranscription faite par nos soins