Bengous : « Toujours la même histoire avec ces Bordelais… Et si c’est pas eux, c’est l’arbitre ! »

Ses débriefs amusent ou agacent, et parfois les deux, mais Bengous, surjouant son personnage chauvin et très provocateur, a au moins le mérite de proposer quelque chose d’unique, pour Le Phocéen TV.

Voici sa vidéo d’après Bordeaux/Marseille (1/1, 37ème journée de Ligue 1), avec des punchlines dont lui seul a le secret. Sur l’arbitrage, sur les 40 ans d’invincibilité, sur les joueurs, sur l’Olympique de Marseille et sur un peu tout et n’importe quoi :

« Et voilà ! 40 ans, pas 40 ans… Qu’est-ce qu’ils nous racontent ? C’est toujours la même histoire avec ces Bordelais… Toujours la même histoire ! Tu vois gros, si c’est pas eux c’est l’arbitre et si c’est pas l’arbitre c’est eux ! Elle m’avait gonflé cette histoire des 40 ans, et bah elle va nous courir encore derrière ! Il sont invaincus, dans leur stadium Atlantique, machin, que je sais pas comment il s’appelle… Leur stade en bois là. Mais, je t’explique frérot, il y avait largement la place cette fois. La place en Europe, tu étais à deux doigts de la gagner, et là tu vas être tout tendu contre Bastia…

Sérieux, je suis pas bien là, et c’est toujours à cause de l’arbitre ! Toujours avec ce Mr Turpin, ça tombe toujours contre nous ! Mais qu’est-ce qu’il a le gars, il nous aime pas ?! Ses collègues assistants, là, ils font les folles, ils envoient un coup de drapeau et puis non. Mais qu’est-ce que tu fais, c’est quoi ton métier, gros !? Tu es arbitre, et quand tu lèves ton drapeau, tu vois que tous les joueurs sont statiques car ils voient une faute, un hors-jeu ou je sais pas quoi… Mais les autres ils ont marqué sur cette action, et voilà ! Et Turpin il a rien vu, comme d’habitude ! Et ça arrive sur qui ? Sur l’Olympique de Marseille, pour pas changer ! Oh Turpin… T’en n’as pas marre ? C’est quoi le souci ? On te sort des yeux ? T »aimes pas le sud, c’est ça ? Mais bon, on a fait le principal, le match nul, car il fallait surtout pas le perdre ce match ! Mais là, on tape la barre, le poteau, et eux ils vont encore fanfaronner avec leurs 40 ans ; bientôt 41 mais on s’en bat les couilles… Oh, pas besoin de fanfaronner les Bordelais ! Vous êtes tous en bois ! En bois d’ébène, je te le dis ! «