Trémoulinas : « On ne peut pas leur en vouloir »

Conciliant avec le public de sa ville, pas vraiment au rendez-vous hier même si venu en nombre pour France – Serbie (2-1), le bon Benoit Trémoulinas, qui connait plutôt bien la mentalité de « connaisseur » du public girondin et a fini par s’y faire,  a tenté d’être philosophe pour justifier le manque d’ambiance et les sifflets, notamment à l’encontre d’Olivier Giroud et d’Anthony Martial.

« Quand ça chante on entend et quand ça siffle on entend aussi. On ne peut pas leur en vouloir, on sait très bien qu’ils veulent que l’on attaque tout le temps. »

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