Stéphane Martin : « Qu’il y en ait un qui parte c’est possible »

Présent aujourd’hui sur le plateau de France 3 Aquitaine, le président des Girondins de Bordeaux, Stéphane Martin, s’est livré sur plusieurs sujets d’actualité. 

Voici les retranscriptions :

La conservation des jeunes (Malcom, Vada, Kamano…) :

« Dans l’équipe titulaire il y a au moins 5 ou 6 jeunes. C’est sûr que ces 5 ou 6, qui sont titulaires régulièrement, on aimerait en garder la majorité. Enfin, la majorité, non seulement la majorité mais, au moins… qu’il y en ait un qui parte c’est possible mais on garderait alors tous les autres. On va dire qu’on veut en garder 5 sur 6. »

Sur sa prise de fonctions :

« […] Il y a une très grande variété d’échanges, de contacts, puisqu’on a déjà rencontré de nombreux partenaires, des élus… J’essaie de rencontrer au maximum les employés du club, même si malheureusement je n’ai pas pu les rencontrer tous en entretien individuel. Et puis il y a la différente découverte des métiers du club, puisqu’au-delà de l’équipe professionnelle, que tout le monde connaît, il y a beaucoup d’autres métiers au sein du club ; donc c’était une première semaine intense de découvertes et d’échanges. »

Bordeaux – Montpellier :

« Ce soir, c’est un match important. La fin de saison est très importante pour le club puisqu’on est déjà en train de penser à la suivante. On a une opportunité, on l’espère, de garder un maximum de nos jeunes joueurs talentueux pour confirmer la bonne deuxième moitié de saison sur la saison prochaine. Mais, évidemment, le classement final aura une influence sur ce qu’on pourra faire par rapport à l’équipe de l’année prochaine. Donc, c’est un match très important. »

L’objectif de fin de saison :

« L’objectif, on ne l’a pas dit parce que je crois que Jocelyn Gourvennec n’a pas réfléchi match par match – et il a raison -, mais oui, bien sûr que  si on pouvait accrocher une qualification européenne ça changerait des choses sur la politique sportive, le mercato. »

La place des Girondins actuellement :

« Aujourd’hui, c’est sûr que Paris et Monaco c’est compliqué à aller chercher… On voit que c’est un très, très haut niveau ; pas seulement par rapport à la France. Je pense qu’à 5 minutes près, qui sont 5 minutes qui n’arrivent qu’une fois tous les 50 ans, on aurait deux clubs en quarts de finale de la Champions League, deux clubs tout à fait compétitifs pour la victoire finale. L’Olympique Lyonnais a un très haut niveau aussi. J’ai vu les matchs contre la Roma, c’est aussi du très haut niveau, donc voilà, la 4ème place, ce n’est pas la 4ème place d’il y a dix ans, c’est le 4ème derrière deux géants et un très grand. »

Sur son intérêt pour les autres sports :

« Oui, il y a aussi le rugby ! J’avoue que je suis un peu moins qu’il y a quelques années ; déjà parce que j’habitais en Espagne et que ce n’est pas le sport le plus populaire dans ce pays. Mais je suis un peu le rugby. Je suis un peu tous les sports. »